L’immobilier de luxe à Paris ne connaît pas la crise, malgré la pandémie de COVID-19 et les incertitudes économiques qui en ont découlé. Selon un article récent du journal Le Monde, les biens immobiliers de prestige situés dans les quartiers les plus prestigieux de la ville continuent de susciter l’intérêt des acheteurs fortunés et les prix restent élevés.
Les quartiers tels que Neuilly-sur-Seine, Passy et Auteuil sont particulièrement populaires auprès des acheteurs de luxe, en raison de leur proximité avec les parcs boisés et les écoles prestigieuses. Les propriétés situées dans ces quartiers sont généralement spacieuses, avec de grandes terrasses et jardins, et sont souvent dotées de piscines et de courts de tennis.
Les acheteurs de luxe sont principalement des étrangers
Les acheteurs de luxe sont principalement des étrangers, en particulier des résidents des États-Unis, du Moyen-Orient et d’Asie. Beaucoup d’entre eux sont attirés par la qualité de vie à Paris, ainsi que par la stabilité politique et économique de la France.
Les agents immobiliers affirment que la demande pour les biens de luxe à Paris est toujours forte, malgré la pandémie. En fait, certains disent que la crise sanitaire a même contribué à augmenter la demande, car de nombreux acheteurs fortunés cherchent à investir dans des propriétés de prestige dans des villes comme Paris, considérées comme des refuges sûrs en cas de turbulence économique.
Selon les données de l’agence immobilière Knight Frank, les prix des biens immobiliers de luxe à Paris ont augmenté de 2,6% au troisième trimestre de 2022, malgré la pandémie. Cette hausse est principalement due à la forte demande des acheteurs étrangers, ainsi qu’à l’offre limitée de biens de luxe à Paris.
Il semble que l’immobilier de luxe à Paris soit résistant à la crise économique causée par la pandémie de COVID-19. La demande des acheteurs étrangers fortunés et la qualité des propriétés situées dans les quartiers les plus prestigieux de la ville continuent de maintenir les prix élevés. Cependant, il est difficile de prédire comment la situation évoluera à long terme, en particulier si la pandémie continue de perturber l’économie mondiale.