Lorsqu’il s’agit de la recherche d’un meilleur syndic, il n’existe aucune réponse unique. C’est parce que le processus varie en fonction des réponses relatives aux attentes et aux exigences d’un syndicat des copropriétaires. Afin de trouver un syndic approprié, on doit tenir compte de certaines études, en combinant le quotidien et l’avenir.
La définition d’un bon syndic
Un syndic, que l’on appelle autrement un syndic de copropriété, constitue une personne morale ou physique, représentant le syndicat de copropriété. Souvent, il se charge également de la gestion des parties communes à l’intérieur d’une enceinte de copropriété. Dans les immeubles, dans lesquels la gestion est sous le régime copropriétaire, la présence d’un syndic est une exigence légale. Dans la grande majorité des cas, il s’agit d’un professionnel. Pourtant, cela n’empêche pas de voir une personne bénévole que les copropriétaires choisissent parmi eux. Quoiqu’il en soit, il comble à l’assemblée générale de choisir leur syndic. Selon l’article 25, il doit être issu d’une élection à majorité absolue. Habituellement, son mandat dure trois ans.
Le syndic professionnel
Un syndic professionnel joue un rôle clé dans une copropriété. Pour une question de praticité, les copropriétaires choisissent souvent de recourir à un syndic professionnel. C’est en raison de leur niveau de compétence ainsi que les outils performants, pour la gestion de la copropriété. Toutefois, la loi Hoguet régit les syndics professionnels. Ces derniers doivent disposer des véritables aptitudes dans ce secteur, notamment :
- L’obtention d’une carte professionnelle
- La disposition d’une garantie financière
- La détention d’une assurance de responsabilité civile
Quelle que soit l’envergure du syndic professionnel, il est tenu de garantir la gestion courante d’une copropriété. Cela couvre, en général, la gestion financière et la gestion administrative.
Le syndic bénévole
Cela concerne particulièrement les petites copropriétés. Suite à la désignation d’un copropriétaire, comme un syndic non-professionnel, ce dernier garantit la gestion quotidienne de l’immeuble. De toute manière, il s’agit d’une pratique déjà répandue au niveau des sociétés. Lors de la prise d’une décision, l’un des principaux facteurs clés à tenir compte est la raison économique. Elle aide à prévenir les coûts relatifs au paiement d’un syndic professionnel. Certes, cela constitue une baisse considérable des coûts relatifs à la gestion. Pourtant, cela requiert un temps important. À l’égard des missions, il est probable que cela revient au même que celles d’un syndic professionnel. Pourtant, il peut nécessiter un plus haut niveau de disponibilité.
Le choix d’un bon syndic
La principale étape consiste à la recherche des informations, des avis et des comparaisons. Les recherches peuvent se faire de manière individuelle, mais la plupart des copropriétaires choisissent de passer par un courtier. Tout au long de la recherche, le contrat est l’élément clé, car c’est un document qui exige une attention particulière des copropriétaires. C’est l’un des éléments qui doivent faire l’objet d’une analyse méticuleuse. En France, les charges relatives à la copropriété constituent une question très importante. C’est parce qu’elles représentent un chiffre annuel de 40 milliards d’euros. Un bon syndic doit disposer d’une vision innovante pour les faire diminuer, en assurant la qualité des prestations, transparente et professionnelle.